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interview par Lilou Macet

Extrait d'un séminaire - Paris 2012

INTERVIEW | PODCAST

interview par Radio ici et maintenant

  • Interview de michelle marques

TÉMOIGNAGES

« Bonsoir Michelle, Je tiens à vous remercier pour la séance de décodage fabuleuse que vous m’avez faite. La précision et la clarté de votre talent m’a permis de mettre de la compréhension sur des ressentis, et des douleurs dentaires qui sont en train de disparaitre ou de se transformer. Toutes les dimensions de mon état que vous avez connectés étaient d’une justesse que j’ai rarement rencontrée dans des travaux de ce type. Encore merci pour votre temps, et j’aurais grand plaisir à vous revoir pour une autre séance. »

Bien cordialement,
Gérard

« Michelle, Vivre une consultation avec toi est un véritable cadeau… merci pour ce cadeau. Merci pour ta belle présence. Merci pour ce savoir ancestral que tu partages si bien. Je suis très impressionnée par la dimension de ton travail, de ton art… Je peux mesurer un peu plus aujourd’hui, l’ampleur que peut prendre le mien, grâce à la porte que tu as ouverte en moi et surtout par ton exemple. Merci de m’avoir montré le chemin et de m’avoir fait prendre conscience de tous les possibles… Tu as su synthétiser avec clarté, ce que je présentais au plus profond de moi. Tu as éclairé et mis du sens sur des périodes de ma vie. Tu m’as parlée de femmes significatives qui vont m’ouvrir d’autres horizons, tu en fais partie… Merci infiniment. »

Martine

« Remerciement à Michelle :
Je vais vous parler de ma mère Marie-Renée, la 36 ! De la dent numéro 36 bien-sûr, la dent des 6 ans, celle qui se trouve en bas à gauche ! C’était à la fin de l’année 2000, ma mère allait fêter ses 75 ans et sa mémoire commençait à partir .J’ai compris, que par la parole plus grand-chose n’allait passer. De la Réaction je passais à la cRéation, je n’ai fait que changer de place à mon « R » et la vie est plus joyeuse. J’avais ce travail de paix à faire avec ma mère, alors pourquoi pas soigner cette dent 36 ! J’avais suivi en début d’année le stage de Michelle, mais voilà Michelle était partie sous d’autres cieux en me disant : Serge, trouve un dentiste qui a une certaine sensibilité et continue le travail ! J’ai trouvé Jean, un dentiste avec de la sensibilité, il ne connaissait pas le travail de Michelle, mais très respectueux et à mon écoute. La 36 était mal en point ! Jean voulait absolument la sauver, mais au bout de 3 séances il me dit : « Je vais devoir extraire une partie, car je n’arrive pas à obturer correctement le canal » Avant d’arriver à cela, je décidais de travailler d’une façon subtile sur cette dent et de faire un acte psycho- magique, conseillé par une psycho- généalogiste. Cet acte tournait autour du géranium, quoi de plus simple, j’allais offrir cette plante à ma mère ! Nous étions en fin d’année, ma mère à 1300 kms de moi et pas un géranium chez le fleuriste ! Cette fleur aussi pouvait être peinte .Je rencontre une artiste-peintre sur poterie et je lui demande de réaliser sur un vase cette oeuvre. Un peu surprise par ma demande, elle me dit « pourquoi un géranium ? Je lui explique ma démarche vis-à-vis de ma mère et surtout, tout ce que j’avais à lui dire à travers cette création. Je n’en ai jamais peint, mais je vais y mettre toute cette intention lorsque je vais le réaliser. J’avais pris le soin de lui demander d’écrire un petit mot pour ma mère au cul du vase. Voilà l’œuvre réalisée et je l’expédie à ma mère. Le colis est réceptionné : La première semaine (au téléphone) Ma mère : j’ai reçu ton paquet, il était tellement gros que j’ai cassé ma clé dans la boite aux lettres ! Agacée ! La deuxième semaine (au téléphone) Ma mère : ah ! C’est joli ! Plus détendue ! La troisième semaine toujours au téléphone Ma mère : Ah, je n’avais pas vu que tu m’avais écrit un petit mot sur le vase ! Touchée et émue ! Je retourne chez le dentiste et je lui dis : cette fois-ci c’est bon, vous allez pouvoir passer dans le canal !!!! Toujours pas, Jean me dit : je vais faire le maximum pour sauver la dent et je vais en extraire 1/3. Rendez-vous est pris pour le 27 février 2001 .Lors de l’extraction, il me prévient que cela risque de faire bouger des choses et me demande d’être réceptif aux événements. L’extraction a lieu et rendez-vous est pris pour le 5 mars 2001 à 16 heures, pour la reconstruction. Ma mère décèdera le 2 mars, le jour de la Saint Charles Le Bon et fût inhumée le 5 mars à 16 heures. J’ai compris quelque temps plus tard qu’elle m’avait fait un beau cadeau, me « délivrant » et me livrant aussi le nom de mon géniteur « Charles ». Merci Maman ! Merci Michelle de m’avoir aidé à décoder et très heureux de t’avoir retrouvé 12 ans après, le 23 octobre 2012. »

Serge